Le centre aqualudique Bernard Jeanmet-Peralta, nommé en hommage à l’ancien président de Durance Luberon Verdon Agglomération (DLV Agglo) et maire de Manosque qui a initié le projet, a été inauguré le 9 janvier 2024, par Camille Galtier, actuel maire de Manosque et président de DLV Agglo.
Entre 2021 et 2022, 350 mètres linéaires de réseau ont été créés pour raccorder le centre aqualudique au réseau de chaleur de la ville de Manosque. Dès la mise en service de la sous-station dédiée, cet équipement sportif bénéficiera à 75 % d’une chaleur issue d’une énergie locale et renouvelable, la biomasse, acheminée par le réseau de chaleur exploité par CALOREM.
La conception et le fonctionnement de cet espace de loisirs, premier projet porté par DLV Agglo et reconnu d’intérêt communautaire, visent à minimiser son impact sur l’environnement et à réduire ses coûts de fonctionnement, se traduisant ainsi par :
- Des économies sur le traitement des eaux de baignade,
- La récupération des eaux de pluie pour l’entretien des installations,
- L’installation de panneaux solaires,
- Un traitement de l’air optimisé pour le bien-être des usagers,
- Et bien sûr, le raccordement du centre sportif à la chaufferie biomasse de Manosque exploitée par CALOREM.
La phase de test de conformité des installations du centre aqualudique durera 3 mois, et le lieu ouvrira officiellement ses portes au grand public au mois d’avril. Ainsi, dès l’arrivée du printemps, les habitants pourront profiter d’un nouveau lieu de loisirs, chauffé grâce à une énergie renouvelable, où le plaisir de la baignade se conjuguera avec la préservation de l’environnement !
A propos :
Le réseau de chaleur de la Ville de Manosque a été créé fin des années 2000. CALOREM, filiale du Groupe Coriance, est chargée de son exploitation et de son développement dans le cadre d’un contrat de délégation de service public avec Durance Luberon Verdon Agglomération.
L’ensemble des abonnés et usagers bénéficient d’une chaleur écologique issue à 75% d’énergie renouvelable et locale, la biomasse. Le réseau permet d’éviter chaque année l’émission de 2 500 tonnes de CO2, soit l’équivalent des émissions de 2 300 voit